Saturne L'empire du Temps sur le Monde, Louvre-Lens, Arras
Saturne L'empire du Temps sur le Monde, Louvre-Lens, Arras

Saturne, Seigneur du Karma

En janvier dernier, Saturne rencontrait Pluton à 22° du Capricorne. Durant cette conjonction on apprenait que la pandémie Covid-19 atteignait l’Europe par le signalement des deux premiers cas diagnostiqués à Rome le 30 janvier 2020.(1)

Des épidémies et des pandémies il y en a eu de tout temps ! La manière dont elles sont perçues et traitées par le public et les autorités varient largement selon le contexte économique, politique, sanitaire et médiatique ambiant.

En remontant le temps jusque après la guerre mondiale de 1940-45, nous constatons que les trois grandes pandémies de 1957-58 , de 1968-69 et de 2009-10, coïncidaient toutes avec un aspect dynamique entre Saturne et Pluton. Celle du Covid-19 en est la quatrième qui ne déroge pas à la règle.(2)

Autant les deux premières pandémies ont fait peu de bruit malgré le nombre élevé de victimes, autant la dernière – qui n’est pas encore terminée – a attiré l’attention des médias et des gouvernements du monde entier. Les mesures de confinement n’ont jamais été aussi universelles et sévères.

Nous devrons attendre la fin de l’année pour en connaître les chiffres mais nous pouvons dès à présent réfléchir au symbolisme de la conjonction de Saturne et Pluton car historiquement, les aspects entre Saturne et Pluton – et particulièrement leurs conjonctions, leurs carrés et leurs oppositions – coïncident à des périodes qui peuvent se résumer en quelques mots : gravité, tension, transformation par contraction accompagnée du sentiment qu’une époque touche à sa fin.(3)

Après avoir rencontré Pluton, l’archétype de la Transformation, à la Pleine Lune en Scorpion, nous allons tenter d’approcher Saturne, l’archétype du Réalisme durant la Pleine Lune dans son signe du Capricorne (4) – afin d’en dégager les qualités positives et négatives qui pourraient nous aider à mieux intégrer son symbolisme dans ces périodes d’alignement avec Pluton, et plus particulièrement durant cette période de profonde remise en question que nous traversons cette année.

Le poids du Passé

Saturne est pesant, comme le plomb qui est son métal. C’est aussi l’archétype du poids karmique qui pèse sur la vie, tant au niveau personnel et biologique qu’au niveau sociétal, économique et environnemental. Saturne nous rappelle que nous sommes responsables de nos choix et de nos actes car nous faisons tous partie d’un Grand Tout. Chacune de nos actions aura des répercussions positives et négatives à court, moyen et long terme. Rétributions et punitions pour des actions passées ne sont plus unanimement projetées sur une éventuelle vie après la mort mais plutôt sur l’avenir individuel et collectif.

Le poids du passé environnemental

La Nature est là, plus que jamais, pour nous rappeler à l’ordre car il y va de notre survie et de la vie des futures générations. Le côté positif de la crise sanitaire que nous traversons avec cette pause obligatoire est de faire le point sur nos choix et nos actions passées pour corriger nos erreurs calamiteuses qui pèsent de plus en plus lourd sur l’avenir de notre petite planète.

Rappelons-nous que dans la mythologie romaine, Saturne est aussi une divinité agricole qui présidait à cet  » âge d’or » où les hommes étaient peu nombreux, vivaient bien et longtemps une vie simple et paisible de chasseurs-cueilleurs, dans la concorde et la justice qui allaient de soi. Vision inspirante s’il en est! (4)

Grâce aux extraordinaires découvertes scientifiques de ces dernières années, les historiens sont de plus en plus confrontés aux archives naturelles de l’Histoire. ‘ Les carottes glacières, les minéraux dans les grottes, les dépôts au fond des lacs, les sédiments marins, tout ce bagage conserve les traces des changements climatiques écrits dans le langage de la géochimie. Les cercles concentriques des arbres et les glaciers racontent l’histoire de l’environnement… L’histoire se lit également dans la biochimie et les restes humains, l’analyse des DNA permet de reconstruire l’arbre de vie d’un passé lointain… La technologie est en train de révolutionner ce que nous connaissons sur l’histoire de l’évolution des microbes et des hommes.’ L’examen de ces archives naturelles permet de mieux comprendre le rôle des agents pathologiques dans l’effondrement de grandes civilisations passées – dont celle de l’Empire Romain – et d’en tirer d’ éventuelles conclusions pour l’avenir de l’humanité. (5)

Il est indéniable que les progrès scientifiques passés ont libéré une grande partie de l’humanité de ses asservissements au temps, à l’espace, au climat, à la maladie, grâce aux inventions qui ne cessent de continuer depuis un peu plus d’un siècle avec l’invention de l’électricité, des trains, automobiles, avions, fusées, du téléphone et de l’internet, du chauffage et de l’air conditionné, des découvertes médicales et pharmaceutiques salvatrices, pour ne citer que les plus évidentes.

Ces progrès ont certainement permis à l’humanité d’augmenter son espérance de vie. En conséquence – que l’on peut considérer positive autant que négative – le nombre d’êtres humains peuplant la planète est passé de quelque 690 millions d’habitants en 1700 à environ 1,6 milliard en 1900 et dépassera les 7,7 milliards en 2020 pour éventuellement approcher les 10 milliards en 2050.(6)

Serons-nous suffisamment réalistes pour modifier nos choix de vie et permettre à autant d’êtres humains d’occuper notre petite planète en la partageant avec la gent animale de toutes espèces ainsi que la biodiversité végétale, marine et forestière afin de maintenir un équilibre écologique indispensable à la survie de tous ?

Nous verrons plus bas que Saturne peut servir de guide en ce qui concerne l’adoption et l’imposition de limites et de limitations.

Le poids du passé politico-économique

Les retombées karmiques du passé colonial belge ont brutalement refait surface durant cette dernière conjonction Pluton/Saturne quelque 135 années après le début de l’exploration du fleuve Congo par l’aventurier Henry Morton Stanley.

Son expédition à partir de Zanzibar avait débuté en novembre 1874, sous un aspect particulièrement dynamique – un carré, entre Saturne et Pluton. Quant au roi Léopold II – qui avait promis une récompense à Stanley s’il réussissait son périple, et qui nourrissait des visées coloniales expansionnistes pour son petit royaume de Belgique – il est né durant une opposition Saturne/Pluton. (7)

Soixante ans après la déclaration d’indépendance du Congo, les descendants des peuples colonisés manifestent leur colère en détruisant les sculptures et autres monuments qui rappellent les exactions coloniales passées mais qui signalent également leur impuissance à faire face au désastre politico-économique actuel dans leur pays indépendant.

Les manifestations anti-esclavagistes aux USA qui ont marqué le printemps dernier en exposant le racisme qui continue de diviser les États-Unis par une ségrégation à tous les niveaux vis-à-vis des 12 % de Noirs Américains  – éducation, soins de santé, logement, injustice policière, emploi etc., nous rappellent le poids du péché originel lié à la fondation de ce pays. Malgré l’abolition de l’esclavage en 1865 et les lois antiségrégationnistes votées entre 1964 et 1965 (durant une opposition Saturne/Pluton), les conséquences de ce commerce d’êtres humains – environ 12,5 millions d’Africains furent enlevés et vendus comme esclaves outre-Atlantique nord durant 246 ans – pèsent toujours sur toute une nation.

Un dernier exemple karmique retenu parmi tant d’autres, est celui du sort qui attend les 300 mille Indios de l’Amazonie répartis en 290 communautés, dont 102 groupes ethniques qui n’ont jamais eu de contact avec le reste du monde jusqu’à présent.(8) Cinq cent ans après que les conquistadores exterminèrent les natifs américains bien plus par la contagion de leurs virus que par leurs armes (9), le Covid-19 et autres Coronavirus pourraient être responsables du génocide des derniers Indios si les responsables politiques du Brésil ne font rien pour arrêter cette catastrophe annoncée, causée par l’appât du gain pur et dur de quelque vingt mille chercheurs d’or qui sont en train de violer leur territoire sans autorisation (répétition de l’expression hyper négative de la Saturne/Pluton en Capricorne de 1520).

Ces tribus sont les derniers représentantes de ce que nous étions il y a 20.000 ans. Elles sont les gardiennes d’une sagesse et de connaissances de la Nature  que nous avons perdues. Cinq cent ans après la dernière conjonction Saturne/Pluton en Capricorne et l’invasion du territoire américain par des colons avides de nouveaux territoires et de richesses, nous pourrions assister au même drame sanitaire à l’encontre des dernières populations autochtones. Mais à présent, on ne pourra pas dire qu’ ‘on ne savait pas’ ! La responsabilité d’une extinction totale allongerait la triste liste des crimes contre l’humanité et détruirait à jamais ce rapport unique à nos origines, à notre histoire d’être humain. Il détruirait aussi l’immense richesse d’un écosystème grand comme cinq fois la France et indispensable à la biodiversité de notre planète.

La tendance à projeter la part sombre d’une situation désespérée sur des boucs-émissaires en les diabolisant et les accusant de tous les forfaits réels et imaginés, fait partie de l’expression destructrice du tandem Pluton/Saturne.

Confronter les forces destructrices intérieures et extérieures tout en découvrant la part d’ombre qui fait partie de la vie, comme la corruption politique et morale, la violence, la déchéance, les luttes de pouvoir et autres sont du ressort des deux figures archétypales de Saturne et Pluton. La soif de contrôle se décline dans les deux.

Accepter les limitations de la réalité (Saturne) et savoir lâcher prise et pardonner (Pluton) sont deux attitudes qui permettent d’intégrer ces archétypes dans leur expression la plus libératrice. Individuellement et collectivement.

Confronter la Réalité avec ses limites et limitations

Sans les intimations de Saturne – l’archétype du Réalisme – à mesurer les conséquences de nos actions et à nous avertir des limites et limitations autant de nous-même que du contexte dans lequel nous agissons, nous resterions à jamais dans un monde enfantin où croire est plus important que savoir. C’est l’éternel conflit entre le Puer (l’enfant en nous) et le Senex (le Vieux Sage en nous).

Parvenir au cours d’une vie à développer la discipline, la maturité et le sens des responsabilités du Senex (Culture) sans perdre la spontanéité et la créativité du Puer (Nature) relève de cette complétude à laquelle nous aspirons. Dans un monde idéal, Nature et Culture forme un Tout harmonieux. Malheureusement, l’âge d’or où l’homme entretenait un rapport plus équilibré avec la Nature a pratiquement disparu du monde où nous vivons (avec quelques très rares exceptions, dont celle mentionnée plus haut chez les Indios)

et la mort – dont il offre l’image archétypale incontestée. Depuis le début de l’agriculture et de la sédentarisation aux alentours de 10.000 avt. JC, la Culture s’est développée en vue de maîtriser les trois.

Plus que jamais depuis le siècle des Lumières, la Nature est contrôlée, vilipendée, limitée, combattue comme étant une ennemie à vaincre. Aujourd’hui, de la naissance à la mort, il ne reste pratiquement plus rien de ‘naturel’ ! En considérant les chiffres statistiques de la population mondiale, il semblerait qu’à partir du XXème siècle, la science de l’homme aie réussi cet exploit unique de déjouer la mort, en tout cas d’en limiter les dégâts imposé par la Nature en inventant des remèdes aux maladies qui étaient mortelles, des engrais chimiques et autres pesticides pour multiplier les récoltes alimentaires afin d’éviter les famines ainsi que tant d’autres inventions destinées à dominer les aléas de la Nature.

Mais finalement, d’une certaine manière, la Nature se rebelle et les déséquilibres Nature/Culture se multiplient. A force de se croire invincible, l’homme ne perçoit plus les limites de la Réalité à respecter. Le ‘toujours plus’ déclenche alors une avalanche de problèmes dont nous commençons à prendre conscience – pandémie oblige.

L’équilibre des quatre éléments qui ont permis à la vie de se développer sur notre planète Terre et qui restent indispensables à la vie, sont mis à mal, comme jamais sans doute de mémoire d’homme.

La pollution de l’Air n’est plus un secret pour personne en tant qu’ agent délétère pour la santé d’une foule de citadins et autres régions industrielles.

La maîtrise de l’élément Feu par l’homme qui a représenté une avancée décisive de l’homme sur l’animal, c’est-à-dire de la Culture sur la Nature, nous échappe. Nous avons été les tristes témoins en 2019-2020 du feu se déchaînant et brûlant 20 % des forêts australiennes (plus de 10 millions d’hectares) en tuant un milliard d’animaux et détruisant une immense partie de la biodiversité ambiante.

La contamination de l’Eau par les déchets plastiques atteignait les 8 millions de tonnes par an en 2015 d’après le National Geographic et les décharges d’eaux usées et autres produits toxiques des navires de croisière gigantesques ne cessent d’augmenter de polluer les mers et les rivières.

Quand à l’élément Terre qui représente les sols pleins de vie et de ressources qui nous ont nourrits depuis la nuit des temps, elle se transforme en béton stérile arrosé de produits chimiques empoisonnant tout ce qui vit – y compris nous !

La liste est bien plus longue et triste.

Le diagnostic est simple. L’expansion a ses limites. Nous sommes de plus en plus confrontés aux limitations de la Réalité. Et cette limitation de nos mouvements imposée récemment par l’autorité légale est typiquement saturnienne. Par la force des choses, elle nous a fait entrevoir qu’il pouvait être possible de réparer nos erreurs, de changer nos priorités. En très peu de temps nous avons pu constater que la Nature renaissait, les oiseaux revenaient et chantaient, l’air redevenait respirable…

Les solutions Nature/Culture existent déjà et leurs développements coïncidera éventuellement avec le passage de Jupiter et Saturne du signe conservateur et passéiste du Capricorne vers le signe rebelle et inventif du Verseau (fin décembre 2020). Ces deux compères peuvent nous inspirer à préparer le terrain pour le passage de Pluton dans le signe d’Uranus à partir du printemps 2023 et jusqu’en 2043.

En attendant, accompagné de Pluton, l’archétype de la Transformation/Guérison, the ‘Healer’ – mot incluant la notion de rendre ‘whole’ c’est-à-dire ‘entier, complet’ – écoutons Saturne qui oblige à la simplicité et à l’authenticité. Adieu le gaspillage et l’esbroufe – l’Histoire passée est là, et le présent nous confirme qu’ils sont les valets de la décadence. La maladie – domaine de Pluton – est souvent le dernier messager que l’on est forcé d’écouter pour changer ce qui ne fonctionne plus, pour renaître à la complétude et connaître l’harmonie, au risque de finir dans son Royaume de l’Au-Delà…

Peur ou Prudence ?

Nous terminerons ce bref aperçu en citant le Saturne Saboteur en opposition au Saturne Constructeur.

La Peur paralyse et sabote nos capacités à relever les défis qui émaillent la vie tandis que la Prudence invite à prendre conscience du danger afin d’en limiter les dégâts par la connaissance et la patience. La manipulation par la peur et l’ignorance continue de faire partie de l’arsenal des tyrans et autres dictateurs qui s’arrogent le pouvoir. Ils sont particulièrement virulents durant les périodes où le duo Saturne/Pluton constellent notre firmament ! Je n’en ferai pas la liste ici.

Comment faire face ? Entre autre, en récupérant notre pouvoir dans le silence et la solitude – cadeaux d’une intégration sereine des innombrables bienfaits du duo Saturne/ Pluton. En nous recentrant par le yoga, la méditation, la marche, le chant et tout ce qui éloigne du brouhaha des médias hystériques et autres fake news qui nous effrayent et nous décentrent. Saturne déteste le mensonge !

En cultivant la discipline et la force de caractère, la résilience et le détachement aussi. Ce sont les plus beaux cadeaux de Saturne qui se multiplient au fur et à mesure des années qui passent et accompagnent le travail de conscientisation et d’individuation ainsi que la maîtrise de soi.

Notes

(1) lire Newsletter AAA n°1 ‘Pluton’– p.2 Saturne et le signe du Capricorne

(2) Grippe asiatique 1957-1958 – 2 millions de morts –> Saturne en Sagittaire au carré de Pluton en Vierge
Grippe de Honk-Kong 1968-1969 – 1 million de morts –> Saturne en Bélier au quinconce de Pluton en Vierge
Grippe H1N1 2009-2010 – entre 200 et 500 mille morts –> Saturne en Balance au carré de Pluton en Capricorne

(3) Je remercie Richard Tarnas pour son essai ‘Cosmos and Psyche – Intimation of a new World View’ publié en 2006 par Viking (pas de traduction française à ce jour) qui offre une approche de l’astrologie culturelle et historique à nulle autre pareille à ce jour. Son approche jungienne de l’astrologie archétypale a éclairé mon propre cheminement depuis une trentaine d’année au travers de ses livres et conférences. Richard vit et enseigne l’histoire culturelle, la philosophie et la psychologie des profondeurs à San Francisco et à Santa Barbara, en Californie.

(4) La Pleine Lune (avec éclipse, visible aux USA) aura lieu à Bxl le 5/7/2020 à 6:46 CEDT à 13°Cap 37’ conjointe à Jupiter et Pluton à 23° Cap et à Saturne à 29°, tous les trois rétrogrades. Les 2 planètes ‘sociales’, Jupiter et Saturne sont ici conjointes à Pluton, l’archétype de la Transformation – prise de conscience vivement conseillée…

(5) Extrait de ‘Écriture Céleste…’ – je vous invite à (re)lire le chapitre sur « Saturne : l’Archétype du Réalisme », p.383

(6) extrait traduit du livre fascinant de Kyle Harper ‘The Fate of Rome – Climate, Disease & the End of the Roman Empire’ (Princeton 2017) Ce livre est aussi disponible en français  : ‘Comment l’Empire Romain s’est Effondré – Le climat, les maladies et la chute de Rome’ (Ed. La Découverte, Paris, 2019)

(7) source :herodote.net – Le Média de l’Histoire (15-03-2020) De Lucy à nous – La population mondiale depuis les origines

AnnéePopulation
-350001 million d’habitants?
-1000010 millions d’habitants ?
-500080 –
JC250 –
AnnéePopulation (millions)
-400153
JC250
500209
1000257
1300429
1400374
1500458
1700682
1800968
19001613
19502536
20006062
20509804

(8) – Départ de l’expédition de Stanley vers le Congo à partir de Zanzibar le 17 novembre 1874 – aspect majeur : T carré Pluton – Uranus -Saturne- Henry Morton Stanley, né John Rowlands le 28 janvier 1841 à 5:02 Denbich, Angleterre – Roi Léopold II de Belgique, né le 9 avril 1835 à 1:30 à Bruxelles

(9) Interview du photographe brésilien Sebastiao Salgado « Virus in Amazzonia è il genocido degli indios » – publié sur ‘la Repubblica’du ,15 mai 2020

(10) in ma Newsletter de mai 2020, publiée par l’Association Femmes d’Europe, ‘Une lecture symbolique de la crise actuelle’ où je reprends les coïncidences signifiantes entre les conjonctions Saturne/Pluton en Capricorne qui ont eu lieu a 500 ans d’intervalle.

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